mardi 8 janvier 2008

POURQUOI LA PARITE ?

Par Guélord MOSAU MBOMBO DENLAY


Femme est tenue à sa façon pour parler de la nécessité de la parité et cela sous différentes formes. Mais nous devons comprendre leurs pensées par les principaux représentants.

La parité en Europe et partout dans le monde, les différentes conférences y est tenue pour promouvoir et éveiller l’opinion sur la considération de la femme dans la société. Illustrons cependant les citations tenues pendant une conférence en France pour la raison dont nous voulons apporter notre réflexion.
« Proposé par le Conseil de l'Europe dès 1989, le concept de Parité est apparu dans les années 90 et s'est imposé au monde politique, grâce au combat inlassable des féministes européennes… » (Yvette Roudy ancienne ministre aux droits des femmes, membre du bureau national du Parti socialiste. le 22 janvier 2006).
En Europe comme au tiers monde les combats sont menés pour que l’on reconnaisse à la femme les qualités qu’elle se montre capable à manifester dans la gestion de la chose publique et surtout dans la politique. Mais cela nous parait ambigu parce que moins de femmes ont tenu à ce propos et ne réussissent toujours pas.
Nous voyons souvent que la femme est facilitée dans la demande d’emploi car elle est séduisante à la personnalité de l’homme gestionnaire. C’est par des propositions intimes qu’elle commencera son job. Mais l’homme de son côté, médisant par son semblable qui s’émerge dans le concept de donner la priorité à la femme. Par là nous devons caractériser ce fait du sens que l’homme se présume heureux de satisfaire les besoins de la femme d’abord et celui de son semblable après.
Voilà pourquoi nous disons ensemble de vous que la femme est un être hostile, méchant qui veut conquérir le statut supérieur dans toutes les qualités intellectuelles et morales. Un être dangereux dont il faut éviter.
Nous disons que les femmes s’efforcent à tout prix de promouvoir sa reconnaissance mais cela ne pourra se réaliser en ce temps parce que elle n’a pas confiance en elle- même, et si nous pouvons illustrer, la politique ne connaît moins de femmes car elles ne sont pas nombreuses assurant de bon fonctionnement de leur tutelle.
La parité est prônée, nous l’acceptons dans les cas qui y sont déterminés, mais nous disons que la femme n’arrivera toujours pas à égaler l’homme dans l’exercice de sa tutelle. Elle est structurée et ne peut se contextualiser que dans certains cas tels la reconnaissance théorique de la connaissance ou de compétences morales et non matérielle car elle n’en aboutira jamais en ce temps.
Cette notion de parité est parlée, soutenue, refusée par certains auteurs mais notre apport est de montrer comment elle ne peut aboutir en ce temps car la femme qui est soutenue pour réclamer la parité est un être qui doit être évité.
Nous savons que dans la science les théories sont subjectives, cependant, nous voulons dans cette publication montrer notre vision et laisser noir sur blanc les idées que les autres en parlent communément sans les écrits pour que les générations futures sachent les efforts qu’a subi la parité, de son existence ou de son non- existence. Nous ne pouvons écrire et faire voir nos idées aux autres, si nous ne puisons pas des autres les réflexions scientifiques pouvant nous orienter et soutenir notre pensée exprimée.
Il est évident, par des principes fondamentaux reconnus à tout homme et tout l’homme par les notions de la philosophie sociale, les principes écrits par nos prédécesseurs sur la réflexion sociale, montrent les droits et devoirs sociaux de toute personne. Pour les femmes, nous voulons leur montrer que la vie est prédéfinie, elle demande notre manière de comprendre et savoir agir dans les domaines de la vie et cela pourra se parler pour éclairer notre savoir sur la vision d’une société équilibrée dont nous la voulons de bon et parfait sens, pour le présent et l’avenir. Car si tout le monde savait ce qu’il devrait faire, personne ne dirait à personne ce qui est dans la société.
Nous pouvons illustrer certains principes écrits qui peuvent se traduire à notre situation et conception de la notion de la femme dans une société, citons J. RAWLS :
« Le principe d’égale liberté : A chaque personne doit être reconnu le droit de disposer de libertés de base égales pour tous ; Il s’agit des droits fondamentaux de la personne, ses libertés fondamentales et ses droits politiques de participer à la gestion de la chose publique, notamment les droits de vote et d’éligibilité. Sans la jouissance de ces droits, la société ne peut être déclarée juste et équilibrée. Car la reconnaissance et la jouissance effective de ces droits sont des caractéristiques même d’un Etat de droit notamment à un Etat véritablement démocratique. Il sied cependant de remarquer que la promotion des libertés égales pour tous ne signifie pas la proclamation d’un libéralisme absolu…
Le principe de tolérance : toute personne doit reconnaître à autrui le droit de penser ou d’agir différent du sien propre ; l’homme ne se donne pas pour le propriétaire de la vérité. Le plus souvent d’ailleurs, l’homme se montre ignorer, ce que d’autres, situés dans d’autres milieux, vivants des expériences de vie différentes, connaissant si facilement et si parfaitement… Il convient néanmoins de noter qu’il existe une bonne et mauvaise tolérance. » (3)
Tenant cette citation, nous voyons que cet écrivain prônait à son époque la notion de la parité, il voulait que l’homme reconnaisse la dignité féminine telle qu’exprimée ci- haut. Nous voyons que cette théorie a été mal comprise et a provoqué la confusion de cette notion. Mais notre conception différente de la sienne montre comment la femme doit agir dans la maturité, sur tous les domaines vitaux, pour comprendre et découvrir ce que nous voulons qu’elle devienne.
Dans les modalités du respect des rôles sociaux, nous avons constaté avec la sociologie que nous avons plusieurs types de rôles sociaux dont nous illustrons les rôles institués ; ils correspondent à des différenciations socialement reconnues. Les modèles de comportement sont très extérieurs aux individus, ils sont définis et assignés par la société. Ils correspondent toujours à des statuts bien définis :
Les rôles masculins et féminins ; la différenciation sexuelle a donné lieu à des modèles de comportements distincts pour les hommes et pour les femmes. La nature masculine, la nature féminine parait avoir existé au niveau des systèmes de valeurs. Cette différenciation donne lieu à une grande variété de modèles de comportements distincts sur le plan sociologique.
Les conflits de rôles spécifiques à la condition des femmes ont spécialement été étudiés par les auteurs ,ceux-ci ont insisté pour leur part sur les conflits de rôles inhérents non à la participation des groupes distincts mais à l’existence d’interlocuteurs différents dans le cadre d’un seul rôle social. Un rôle comporte des facettes multiples selon les interlocuteurs et leurs attentes spécifiques, souvent contradictoires les uns par rapport aux autres.
En guise de notre observation sur la parité, la femme doit savoir d’où elle vient et où elle va pour comprendre ce qu’elle veut faire. La parité n’a jamais existé depuis la création et n’en sera pas pour ce temps car la femme ne la connaît pas encore. Nous proposons que la femme se conscientise dans la gestion de sa tutelle sociale pour s’élargir dans les orientations moyennes par là le monde pourra se clarifier de son vouloir devenir ; nous estimons que la femme est pressée de sa réclamation des règles de privilèges dont elle n’a jamais tenu à sa réussite , elle pense toujours sur l’injustice sociale, son rejet dans la tutelle de la chose publique …Elle doit quitter le stade de sa complexité de compétence, se méfier de l’imposition de ses émotions dans la structure de sa conquête indéfinie. Elle n’est pas vessie par son semblable dans sa lutte car elle est destinée à vivre dans la subordination des règles sociales reconnues de son infériorité.













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