mercredi 15 octobre 2008

MON COLEGE !

Je songerai toujours à toi
Quand je tiendrai mon stylo
De tout ce que je suis devenu par ta loi
Du bonheur advenu à mon niveau !

Je te serai très reconnaissant
Pour ta bonne formation
Admirée depuis l’information
De ton savoir très puissant

Ô toi, collège !
La lumière de ta flamme
Placée sur la montagne dame
Que j’ai appelée collège

Ô toi, Ngomba Elikya !
La beauté de mon être
Manifestée par ta façon d’être
Et l’espoir qui est Elikya.

Je t’appellerai toujours espoir
Placé au sommet de la montagne
Comme ta fureur montagne
Avait détérioré mon désespoir

Je manifesterai ton pouvoir,
Par la réalisation de mes devoirs,
De ta formation soudée
Dans ma mémoire non-cédée.

Je serai fier partout
Lorsque je te défendrai
Par ton nom si différent
L’Institut Ngomba Elikya

Ô toi bel collège !
Montre-toi toujours dans ma face
Pour que je témoigne la vase
Fermée pour mes collègues


Je te représenterai partout
Comme les anciens t’ont fait
Dans la société pour tous
Les hommages des bienfaits.

Ô toi, Saint Thomas More !
Le collège de la mort
Par la formation admirable
Et faire de nous des capables

Je chanterai sans fin
Avec mon stylo et ma parole
En t’introduisant dans mes paraboles
Pour ton amour sans fin.

(Guélord MOSAU MBOMBO, guelordmo@yahoo.fr)




mardi 20 mai 2008

LA MORALITE DE LA MASSE PAR LA SOCIALISATION

Par MOSAU MBOMBO Guélord DENLAY

L’humanité a songé établir l’importance de règles sociales pour la bonne conduite dans une société, ce que nous appelons la morale. Cela manifeste donc un rapport imminent entre les différents domaines de la science sociale. Notre étude émane du souci du développement intellectuel et moral du peuple congolais par la notion de la moralité dans la vie publique. De ce fait, nous ne voulons pas faire de cet ouvrage une manifeste sociologique car cela n’est pas forcement notre spécialité d’étude mais partant des connaissances ressorties d’elle, nous les apportons pour éclairer notre champs de recherche sur le fait social : un effort pour l’épanouissement d’une vie digne de la personne humaine dans une société.

Cet effort ne veut pas faire preuve d’une importance véritable ou d’une rétraction de la connaissance limitée dans l’espace ou dans le temps, mais notre souci est de montrer par l’exemple de notre apport en République Démocratique du Congo une innovation pour la vulgarisation de la moralité dans le monde pour une réussite de futures générations car certains pays qui en connaissent également bien plus que les faits sociaux sont totaux et globaux.

Notre motivation dans ce domaine de recherche n’a pas été impressionné par la connaissance juridique des faits sociaux mais le plaisir d’aborder un sujet qui est considéré pour les écrivains congolais un récessif potentiel bien que la notion ait un sens d’étude spécifique aux spécialistes du domaine ; la crise scientifique due au non changement. La morale se parle, s’écrit mais ne se vulgarise pas et ne trouve pas une réussite faute de sa limitation aux faits déterminés dans une espace donné.

Nous avons eu de difficultés mais pas sous estimations du sujet à donner à notre travail aussi que l’intitulé semble se parler communément. Nous avons voulu par ce fait, spécifier et particulariser la notion de la morale civique la masse par certaines agences de socialisation connues d’un grand impact dans l’évolution vitale de l’homme, voilà pourquoi nous avons voulu parler du chemin vital de l’homme : La famille qui est considérée comme la base du développement de la personne ; L’Ecole, institution de secours pour la formation ; La société, Eglises et Médias et l’Etat comme la puissance publique, pour déterminer la valeur d’influence morale que ces agences peuvent mener sur l’homme.
Nous savons que la notion de la socialisation est vaste et surtout parlée par les sociologues qui en font de grandes recherches scientifiques mais nous voulons influer la moralité de la masse que par cette notion de la socialisation car elle est la base du compréhension des phénomènes sociaux déterminés.

Nous avons constaté que l’étude sur la moralité de la masse n’est pas une mince affaire pour l’épanouissement de la vie sociale tel est notre souci primordial, mais nous avons remarqué que faire l’étude dans les différents domaines de la socialisation nous qualifiera du sociologue assidu, raison pour laquelle nous avons choisi de faire notre étude sur les différents chapitres montrés pour modérer et prévisualiser notre passion de l’éducation civique et morale du peuple congolais et du monde qui subit le même problème de la moralité en vie publique.

Nous avons voulu parler de la moralité de la masse par la socialisation car tout homme cherche le bonheur dans la vie ; cette conception du bonheur s’incarne à l’éducation de la personne qui veut l’acquérir ou de la personne qui y aspire mais ne l’acquiert pas.
L’éducation des citoyens que nous appelons la moralité est le moyen ou le moteur central du développement et du changement social. Faire apparaître ou développer les caractères, les rapports sociaux entre les hommes, c’est que nous appelons « socialiser ».

Ce manuel accordé par la considération et le souci de la vulgarisation de bonne conduite sociale du point public doit se manifester aux travers tout le monde même l’interpréter aux personnes indigentes pour se réadapter à la conduite normale dans la société.

Nous voulons éduquer la masse par cet outil, la montrer ses valeurs et contraindre son défaut public ; nous pensons réaliser du peuple congolais un esprit civilisé et déroger l’habitude du mal journalier au détriment des valeurs africaines ; se faire digne d’un peuple acculturé car la colonisation n’a pas été qu’une subordination mais aussi un moyen du développement et l’ouverture du pays dans le monde.

Cet ouvrage ne détruit pas les propos déjà tenus en la matière mais seulement apporter un secours aux lecteurs intellectuels sur les valeurs sociales à éprouver car « les auteurs les plus originaux d’aujourd’hui ne sont pas ceux qui apportent du nouveau mais ceux qui savent dire des choses connues comme si elles n’avaient jamais été dites avant eux » dit Goethe.

Nous n’avons pas exclus certains chemins de la socialisation tels que les pairs, les amis, les associations ou les entreprises mais nous avons voulu restreindre le champ de recherche pour mieux les spécifier.

La moralité de toute personne humaine est tenue à son éducation sous toutes ses formes ; les principes de vie imputables à la moralité, au civisme, à l’éthique sont régis afin d’harmoniser la vie d’ensemble dans la communauté. Cette notion de la moralité issue de certaines agences de socialisations citées, sont considérées comme des bases premières de la vie en société humaine. La situation actuelle de notre pays en matière d’éducation émane d’un certain nombre de facteurs. Ils ont causé une dépravation accrue des mœurs congolaises et une diminution progressive du profil du citoyen congolais.

En d’autres termes, ces facteurs sont ceux qui devraient faire partie du quotidien de l’homme congolais et contribuer à son développement intégral et sain. Malheureusement ils ont été délaissés à dessein au profit de l’avoir et de certaines autres non-valeurs. En effet, le déficit civique de la masse congolaise en matière d’éducation occasionne peu à peu une perte considérable du patrimoine traditionnel et des us conventionnels des règles de la morale et de l’éthique.

De ce fait, la société congolaise se retrouve en proie aux acquisitions des pratiques acerbes caractérisées par la naissance de la Kinoisérie et ses devoirs. Cependant, la R.D.C. ne peut aspirer à un avenir prometteur si elle continue à se fraterniser avec ces mauvaises habitudes. Il nécessite alors qu’une révision profonde de la mentalité soit imposée à tout congolais afin qu’ils s’avisent personnellement de l’évidence du problème. Et cette réflexion doit s’inspirer du mal de la manière d’être, de penser et d’agir du congolais.

Ce travail est une modification par l’actualisation de ce que nous avons déjà exprimé en grande extension comme un résumé, nous l’avons assidu d’un travail vraiment scientifique par de grandes recherches, apports, suggestions et remarques de nos lecteurs.

mardi 8 janvier 2008

L'ANNIVERSAIRE

L’anniversaire,
La force naturelle et réelle du porteur
Montrée par les traits systématiques
du souvenir annuel du temps qu’il grandit
Dans le lieu terrestre .

L’anniversaire,
L’espoir joyeux de poursuivre le chemin de la vie
Sans savoir le jour suivant sur la terre des hommes
Dont Dieu n’a jamais montré à la connaissance humaine
La limite de la vie de toute personne vivante.

L’anniversaire,
Le beau temps de s’émerger dans les sentiments passagers,
du désir indéniable , d’augmentation des secondes définissant
Le moment qui s’est realisé dans le monde .

L’anniversaire ,
Le regrèt du pouvoir juvenile qui s’oriente vers le haut
et cela dans le stade du génaire pour sa poursuite
Vers la viellesse car c’est la fin de l’évolution
Intelligible et consciente .

L’anniversaire,
La juxtaposition de l’esprit vers un but unique et
Principal qui n’est cependant que la sécession des composants
Vitaux et de l’espece vitale de tout être .

L’anniversaire,
Les souvenirs du passé qui se revivent dans la memoire ;
Car vivre c’est beau et se souvenir d’un fait présent à l’esprit
Qui constitue l’époque de l’âge c’est mieux .


(Guelord MOSAU MBOMBO DENLAY)

L'AME SAVANTE

Ame qui se plaint,
Jaillit de l’aurore
L’humidité qui blanchit
La matinée

Ame qui se plaint,
L’humour des hommes ,
Remède des pauvres
Qui grandit dans
La cité idéale

Ame qui se plaint,
Mœurs des noirs
Connues par le sentiment et
Gravées dans la conscience

Ame qui se plaint,
L’immortalité des œuvres
Facilitant du bonheur ,
Amour désireux de comprendre
Les choses dans la compétence du savoir

Ame qui se plaint,
Agis dans la détresse
Du mouvement du consolateur
Qui varie la connaissance
Des prodigues

Ame qui se plaint?
La défaite du trouble
L’humilité et croissance
Du pouvoir moderne inspiré du bonheur pour
Celui qui travaille.


(Guelord MOSAU MBOMBO DENLAY)

L' AME SAVANTE





Ame qui se plaint,
Jaillit de l’aurore
L’humidite qui blanchit
La matinée

Ame qui se plaint,
L’humour des hommes ,
Remède des pauvres
Qui grandit dans
La cité idéale

Ame qui se plaint,
Mœurs des noirs
Connues par le sentiment et
Gravées dans la conscience

Ame qui se plaint,
L’immortalité des œuvres
Facilitant du bonheur ,
Amour désireux de comprendre
Les choses dans la compétence du savoir

Ame qui se plaint,
Agis dans la détresse
Du mouvement du consolateur
Qui varie la connaissance
Des prodigues

Ame qui se plaint,
La défaite du trouble
L’humilité et croissance
Du pouvoir moderne inspiré du bonheur pour
Celui qui travaille.


(Guélord MOSAU MBOMBO DENLAY)

LA MORALITE DE LA MASSE SELON LES MODALITES DE LA CONSTITUTION CONGOLAISE DU 18 FEVRIER 2006

Par MOSAU MBOMBO Guélord DENLAY


La moralité de toute personne humaine est tenue à son éducation sous toutes ses formes ; les principes de vie imputables à la moralité, au civisme, à l’éthique sont régis par un statut de l’Etat afin d’harmoniser la vie d’ensemble dans la communauté. Cette notion de la moralité issue de certaines agences de socialisations qui sont considérées comme des bases premières de la vie en société humaine. La situation actuelle de notre pays en matière d’éducation émane d’un certain nombre de facteurs. Ils ont causé une dépravation accrue des mœurs congolaises et une diminution progressive du profil du citoyen congolais.
En d’autres termes, ces facteurs sont ceux qui devraient faire partie du quotidien de l’homme congolais et contribuer à son développement intégral et sain. Malheureusement ils ont été délaissés à dessein au profit de l’avoir et de certaines autres non-valeurs. En effet, le déficit civique de la masse congolaise en matière d’éducation occasionne peu à peu une perte considérable du patrimoine traditionnel et des us conventionnels des règles de la morale et de l’éthique.
De ce fait, la société congolaise se retrouve en proie aux acquisitions des pratiques acerbes caractérisées par la naissance de la Kinoisérie et ses devoirs.
Cependant la R.D.C. ne peut aspirer à un avenir prometteur si elle continue à se fraterniser avec ces mauvaises habitudes. Il nécessite alors qu’une révision profonde de la mentalité soit imposée à tout congolais afin qu’ils s’avisent personnellement de l’évidence du problème. Et cette réflexion doit s’inspirer du mal de la manière d’être, de penser et d’agir du congolais.
Nous pouvons, en effet, caractériser ces agences de socialisations dans certains aspects de l’éducation humaine : La famille, l’école, la société et l’Etat.

La famille : base du développement d’une personne

Personne n’ignore l’importance dont nous accordons à la famille comme base du développement d’une personne dans sa communauté car elle est le centre de l’adaptation et de la formation mentale de l’homme pour son avenir dans la société , elle est située dans le temps de l’évolution d’une personne pour un certain âge ; c’est par elle que sont acquises les premières valeurs essentielles et fondamentales de la personne humaine par les besoins primaires : Psychologique, la protection juridique, sociale et judiciaire , l’affection et l’éducation. Tous ces facteurs permettent à l’homme mineur de vivre en concordance par son éducation objective de sa famille qui pourrait le situer dans l’espace de sa vie.

L’école : institution de secours pour la formation

Comprendre ce qu’est un établissement où on enseigne aux enfants à lire, écrire, compter pour les épanouir à un statut de configuration intellectuelle ; est cependant une institution des enfants du grand objet du gouvernement pour en faire revivre les principes normaux de l’éducation parce que nous savons avec certains auteurs que l’école est une maison d’éducation qui complète la famille sur le plan éducatif et emporte des connaissances à l’enfant et elle l’aide à être le vrai citoyen dans la communauté.

Il faudrait alors constater que la crise de l’éducation civique de la masse en RDC s’est aussi infiltrée dans les écoles congolaises ; pourtant elle est un milieu d’apprentissage et d’instruction par excellence. Mais l’école est traînée à la corruption, à la prostitution et des dépravations de diverses formes qu’elle se devrait combattre ; bien plus qu’il existe aujourd’hui le programme d’éducation civique dans les écoles auquel nous souhaitons pleine réussite et performance des enfants.

La société : Eglises et Médias

Dans sa portion attributive, l’église et le médias tiennent à la médiocrité et acculturé de l’éducation de la masse. Dans l’art. 24 de la constitution, toute personne a droit à l’information. La liberté de la presse. Cette liberté d’information et d’émission par la radio et la télévision, la presse écrite ou tout autre moyen de communication est garantie sous réserve du respect de l’ordre public, des bonnes mœurs et des droits d’autrui… Malgré l’aspect extérieur que le média pourrait nous faire comprendre sur l’éducation morale de la personne, nous voyons cependant qu’il est déchu de sa détermination. L’exemple des certains programmes télévisés dans notre pays, cela pourra montrer notre véracité conçue.

Les églises dites de « réveil » apprivoisent les jeunes et les hommes responsables à la croyance chrétienne dépourvue de toute foi en Jésus, tolèrent certaines conduites dans l’église qui perturbent l’ordre social et turent les fidèles à des luttes et controverse envers les leaders des autres églises . Cela manifeste l’impuissance de la croyance même des Bishops, Archi bishops et autres serviteurs du « seigneur » qui, par après nous découvrons leur nuance des malfaiteurs par rapport à leurs réactions dans les églises et envers ses collègues.
Ils terrorisent les parents pour cause de la sorcellerie enfantine de famille surtout élargie qui provoque l’existence des enfants sans protection, sans soutien appelés « enfants de la rue »,qui par occasion : Cette crise sociale causée par les mauvaises prophéties desdits pasteurs des maisons.

L’Etat : puissance publique

Le régulateur social assumant les prérogatives et cherchant à satisfaire la personne humaine par ses dispositions prévues par la loi, de faire comprendre les droits, devoirs et libertés fondamentales du citoyen dans sa société, par les dispositions de la loi constitutionnelle qu’il tient en ce jour, nous aspire dans la synthèse ses art 13,14 et suivants, résultent du facteur du droit civil et politique.

Aucun congolais ne peut en matière de l’éducation et d’accès aux fonctions physiques ni en aucune autre manière, faire l’objet d’une mesure discriminatoire, qu’elle résulte de la loi ou d’un autre acte de l’exécutif, en raison de sa religion, de son origine familiale, de sa condition sociale, de sa résidence, de ses opinions ou de ses convictions politiques, de son appartenance à une race, une ethnie ou tribu, à une minorité culturelle ou linguistique (art.13).

La loi présume dans son art. 14 que les pouvoirs publics veillent à l’élimination de toute forme de discrimination à l’égard de la femme et assurent la protection et la promotion de ses droits... ils prennent des mesures pour lutter contre toute forme de violences faites à la femme dans la vie publique et dans la vie privée … L’Etat garantie la mise en œuvre de la parité homme- femme dans lesdites institutions.

La loi justifie dans son art 15 que les pouvoirs publics veillent à l’élimination de la violence sexuelle sur toute personne dans l’intention dans l’intention de déstabiliser, de disloquer une famille et de faire disparaître tout un peuple , est érigée en crime contre l’humanité et punie par la loi. Tout cela montre que l’Etat est le socle de l’éducation de la masse d’une société, il a l’obligation de prévoir par sa loi les libertés, les droits et devoirs du citoyen dans la communauté tant nationale qu’internationale. L’Etat a l’obligation de la respecter et de la protéger. Toute personne à droit à la vie, à l’intégrité physique ainsi qu’au libre développement de sa personnalité dans le respect de loi, de l’ordre public, du droit d’autrui et des bonnes mœurs (art.16)…
Nous pouvons d’ores et déjà saisir que l’éducation de masse en RDC peut se baser sur la jeunesse qui constitue le socle du développement moral et intégral de la société, la loi congolaise prévoit que les pouvoirs publics ont l’obligation de protéger la jeunesse contre toute atteinte à sa santé, son éducation et à son développement (art. 42).



Ainsi nous pouvons dire que la moralité de la masse selon les modalités de la constitution congolaise dérive du phénomène que tout congolais doit être capable de comprendre et de pratiquer la notion du droit et des obligations civiques pour mieux s’ériger à la connaissance du savoir- être dans la société.

Il doit connaître que ses devoirs peuvent être synthétisé en droit à la culture, la liberté de création intellectuelle et artistique, le droit de jouir du patrimoine commun de l’humanité… Et ses devoirs de connaître la loi et les principes légaux (Nulla poena nullum crimen sine lege), respecter et se conformer aux lois, le devoir de respecter et de traiter ses concitoyens sans discrimination aucune et d’entretenir avec eux des relations qui permettent de sauvegarder, de promouvoir et de renforcer la solidarité nationale, le respect et la tolérance réciproque (art. 66)…Cela permettra donc l’épanouissement du caractère rustique pour se faire valoir d’une bonne manière de vivre, par une concurrence des agences de socialisations que nous avons citées plus haut pour s’illustrer soi-même et d’aider son environnement à vivre loyalement.

A la lumière des faits traités aux précédents, il serait de surcroît judicieux, que certains remèdes soient apportés à la situation actuelle de notre société. Il se relève plusieurs points de défaillance du droit positif congolais en matière d’éducation civique. Cette défaillance est due à la tolérance notoire de l’Etat aux règles pénales requises en matière civique. Il est nécessaire que l’Etat vulgarise un programme de rééducation civique des citoyens congolais dans son ensemble comme la campagne de changement de mentalité lancée autrefois à Kinshasa, luttant contre la fraude, l’impunité, le pillage de derniers publics , les anti-valeurs que regorge la société.
Que l’avenir nous le dise.



POURQUOI LA PARITE ?

Par Guélord MOSAU MBOMBO DENLAY


Femme est tenue à sa façon pour parler de la nécessité de la parité et cela sous différentes formes. Mais nous devons comprendre leurs pensées par les principaux représentants.

La parité en Europe et partout dans le monde, les différentes conférences y est tenue pour promouvoir et éveiller l’opinion sur la considération de la femme dans la société. Illustrons cependant les citations tenues pendant une conférence en France pour la raison dont nous voulons apporter notre réflexion.
« Proposé par le Conseil de l'Europe dès 1989, le concept de Parité est apparu dans les années 90 et s'est imposé au monde politique, grâce au combat inlassable des féministes européennes… » (Yvette Roudy ancienne ministre aux droits des femmes, membre du bureau national du Parti socialiste. le 22 janvier 2006).
En Europe comme au tiers monde les combats sont menés pour que l’on reconnaisse à la femme les qualités qu’elle se montre capable à manifester dans la gestion de la chose publique et surtout dans la politique. Mais cela nous parait ambigu parce que moins de femmes ont tenu à ce propos et ne réussissent toujours pas.
Nous voyons souvent que la femme est facilitée dans la demande d’emploi car elle est séduisante à la personnalité de l’homme gestionnaire. C’est par des propositions intimes qu’elle commencera son job. Mais l’homme de son côté, médisant par son semblable qui s’émerge dans le concept de donner la priorité à la femme. Par là nous devons caractériser ce fait du sens que l’homme se présume heureux de satisfaire les besoins de la femme d’abord et celui de son semblable après.
Voilà pourquoi nous disons ensemble de vous que la femme est un être hostile, méchant qui veut conquérir le statut supérieur dans toutes les qualités intellectuelles et morales. Un être dangereux dont il faut éviter.
Nous disons que les femmes s’efforcent à tout prix de promouvoir sa reconnaissance mais cela ne pourra se réaliser en ce temps parce que elle n’a pas confiance en elle- même, et si nous pouvons illustrer, la politique ne connaît moins de femmes car elles ne sont pas nombreuses assurant de bon fonctionnement de leur tutelle.
La parité est prônée, nous l’acceptons dans les cas qui y sont déterminés, mais nous disons que la femme n’arrivera toujours pas à égaler l’homme dans l’exercice de sa tutelle. Elle est structurée et ne peut se contextualiser que dans certains cas tels la reconnaissance théorique de la connaissance ou de compétences morales et non matérielle car elle n’en aboutira jamais en ce temps.
Cette notion de parité est parlée, soutenue, refusée par certains auteurs mais notre apport est de montrer comment elle ne peut aboutir en ce temps car la femme qui est soutenue pour réclamer la parité est un être qui doit être évité.
Nous savons que dans la science les théories sont subjectives, cependant, nous voulons dans cette publication montrer notre vision et laisser noir sur blanc les idées que les autres en parlent communément sans les écrits pour que les générations futures sachent les efforts qu’a subi la parité, de son existence ou de son non- existence. Nous ne pouvons écrire et faire voir nos idées aux autres, si nous ne puisons pas des autres les réflexions scientifiques pouvant nous orienter et soutenir notre pensée exprimée.
Il est évident, par des principes fondamentaux reconnus à tout homme et tout l’homme par les notions de la philosophie sociale, les principes écrits par nos prédécesseurs sur la réflexion sociale, montrent les droits et devoirs sociaux de toute personne. Pour les femmes, nous voulons leur montrer que la vie est prédéfinie, elle demande notre manière de comprendre et savoir agir dans les domaines de la vie et cela pourra se parler pour éclairer notre savoir sur la vision d’une société équilibrée dont nous la voulons de bon et parfait sens, pour le présent et l’avenir. Car si tout le monde savait ce qu’il devrait faire, personne ne dirait à personne ce qui est dans la société.
Nous pouvons illustrer certains principes écrits qui peuvent se traduire à notre situation et conception de la notion de la femme dans une société, citons J. RAWLS :
« Le principe d’égale liberté : A chaque personne doit être reconnu le droit de disposer de libertés de base égales pour tous ; Il s’agit des droits fondamentaux de la personne, ses libertés fondamentales et ses droits politiques de participer à la gestion de la chose publique, notamment les droits de vote et d’éligibilité. Sans la jouissance de ces droits, la société ne peut être déclarée juste et équilibrée. Car la reconnaissance et la jouissance effective de ces droits sont des caractéristiques même d’un Etat de droit notamment à un Etat véritablement démocratique. Il sied cependant de remarquer que la promotion des libertés égales pour tous ne signifie pas la proclamation d’un libéralisme absolu…
Le principe de tolérance : toute personne doit reconnaître à autrui le droit de penser ou d’agir différent du sien propre ; l’homme ne se donne pas pour le propriétaire de la vérité. Le plus souvent d’ailleurs, l’homme se montre ignorer, ce que d’autres, situés dans d’autres milieux, vivants des expériences de vie différentes, connaissant si facilement et si parfaitement… Il convient néanmoins de noter qu’il existe une bonne et mauvaise tolérance. » (3)
Tenant cette citation, nous voyons que cet écrivain prônait à son époque la notion de la parité, il voulait que l’homme reconnaisse la dignité féminine telle qu’exprimée ci- haut. Nous voyons que cette théorie a été mal comprise et a provoqué la confusion de cette notion. Mais notre conception différente de la sienne montre comment la femme doit agir dans la maturité, sur tous les domaines vitaux, pour comprendre et découvrir ce que nous voulons qu’elle devienne.
Dans les modalités du respect des rôles sociaux, nous avons constaté avec la sociologie que nous avons plusieurs types de rôles sociaux dont nous illustrons les rôles institués ; ils correspondent à des différenciations socialement reconnues. Les modèles de comportement sont très extérieurs aux individus, ils sont définis et assignés par la société. Ils correspondent toujours à des statuts bien définis :
Les rôles masculins et féminins ; la différenciation sexuelle a donné lieu à des modèles de comportements distincts pour les hommes et pour les femmes. La nature masculine, la nature féminine parait avoir existé au niveau des systèmes de valeurs. Cette différenciation donne lieu à une grande variété de modèles de comportements distincts sur le plan sociologique.
Les conflits de rôles spécifiques à la condition des femmes ont spécialement été étudiés par les auteurs ,ceux-ci ont insisté pour leur part sur les conflits de rôles inhérents non à la participation des groupes distincts mais à l’existence d’interlocuteurs différents dans le cadre d’un seul rôle social. Un rôle comporte des facettes multiples selon les interlocuteurs et leurs attentes spécifiques, souvent contradictoires les uns par rapport aux autres.
En guise de notre observation sur la parité, la femme doit savoir d’où elle vient et où elle va pour comprendre ce qu’elle veut faire. La parité n’a jamais existé depuis la création et n’en sera pas pour ce temps car la femme ne la connaît pas encore. Nous proposons que la femme se conscientise dans la gestion de sa tutelle sociale pour s’élargir dans les orientations moyennes par là le monde pourra se clarifier de son vouloir devenir ; nous estimons que la femme est pressée de sa réclamation des règles de privilèges dont elle n’a jamais tenu à sa réussite , elle pense toujours sur l’injustice sociale, son rejet dans la tutelle de la chose publique …Elle doit quitter le stade de sa complexité de compétence, se méfier de l’imposition de ses émotions dans la structure de sa conquête indéfinie. Elle n’est pas vessie par son semblable dans sa lutte car elle est destinée à vivre dans la subordination des règles sociales reconnues de son infériorité.